(dans sa version originale Pacific Rim: Uprising) et il est globalement inoffensif.
J'ai bourré tout le monde et son chien à propos du premier Pacific Rim qui est un pur chef-d'oeuvre non tais-toi tu as tort, et j'attendais rien de la suite, et j'ai eu raison. D'ailleurs, comparer la suite à l'original est assez édifiant quant au pourquoi du 1er c'est bien : ici tout va à l'évidence.
Pas d'intempéries ou de néons pour l'ambiance et l'échelle, avec les belles lumières qui se réverbèrent sur le métal luisant de pluie : c'est grand soleil et buildings génériques. Pas spécialement d'autres enjeux dans les scènes d'action que taper sur le méchant. Exit le design fonctionnel, les mechas qui pèsent lourd à l'écran, le competence porn des équipes techniques de la base : des cadets ahuris, un shatterdome tout propre. Fini le freakshow à Guillermo del Toro, avec ses persos hauts en couleur habillés ninwaque, ses bureaux avec un courant d'eau en plein milieu et le mélange permanent d'influences hétérogènes : enter le look post-marvel recolorisé rugueux mais de loin. Point de thématique "serrage de coude face à l'adversité", dehors le côté hope-punk : le ton c'est juste un enfilement de clichés patriotiques à moitié cuits. Bon pour changer un peu c'est des clichés patriotiques chinois visiblement. Mais boarf.
Néanmoins ça reste plus lisible, plus sympa et plus intéressant que le moindre Bayformers et même si les beats sont piqués à ton anime favori tout comme dans le 1er ("oh du Big O! Oh du Eva! Ah mince, carrément Patlabor 2?"), y'a assez de recombinaison pour que je fus surpris une ou deux fois. Et pis John Boyega. Mais passé les deux tiers, la seule chose qui m'a tenu éveillé c'est a. Charlie Day enfin en totale roue libre et b. le bruit, en général.
Bref si vous voulez capter pourquoi j'aime autant le 1er, matez-le. Ou bien si vous êtes aussi fondu que moi du 1er et que vous voulez un doggy bag. Mais c'est même pas du mac do.
J'ai bourré tout le monde et son chien à propos du premier Pacific Rim qui est un pur chef-d'oeuvre non tais-toi tu as tort, et j'attendais rien de la suite, et j'ai eu raison. D'ailleurs, comparer la suite à l'original est assez édifiant quant au pourquoi du 1er c'est bien : ici tout va à l'évidence.
Pas d'intempéries ou de néons pour l'ambiance et l'échelle, avec les belles lumières qui se réverbèrent sur le métal luisant de pluie : c'est grand soleil et buildings génériques. Pas spécialement d'autres enjeux dans les scènes d'action que taper sur le méchant. Exit le design fonctionnel, les mechas qui pèsent lourd à l'écran, le competence porn des équipes techniques de la base : des cadets ahuris, un shatterdome tout propre. Fini le freakshow à Guillermo del Toro, avec ses persos hauts en couleur habillés ninwaque, ses bureaux avec un courant d'eau en plein milieu et le mélange permanent d'influences hétérogènes : enter le look post-marvel recolorisé rugueux mais de loin. Point de thématique "serrage de coude face à l'adversité", dehors le côté hope-punk : le ton c'est juste un enfilement de clichés patriotiques à moitié cuits. Bon pour changer un peu c'est des clichés patriotiques chinois visiblement. Mais boarf.
Néanmoins ça reste plus lisible, plus sympa et plus intéressant que le moindre Bayformers et même si les beats sont piqués à ton anime favori tout comme dans le 1er ("oh du Big O! Oh du Eva! Ah mince, carrément Patlabor 2?"), y'a assez de recombinaison pour que je fus surpris une ou deux fois. Et pis John Boyega. Mais passé les deux tiers, la seule chose qui m'a tenu éveillé c'est a. Charlie Day enfin en totale roue libre et b. le bruit, en général.
Bref si vous voulez capter pourquoi j'aime autant le 1er, matez-le. Ou bien si vous êtes aussi fondu que moi du 1er et que vous voulez un doggy bag. Mais c'est même pas du mac do.
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