(dans sa version originale Pacific Rim: Uprising ) et il est globalement inoffensif. J'ai bourré tout le monde et son chien à propos du premier Pacific Rim qui est un pur chef-d'oeuvre non tais-toi tu as tort, et j'attendais rien de la suite, et j'ai eu raison. D'ailleurs, comparer la suite à l'original est assez édifiant quant au pourquoi du 1er c'est bien : ici tout va à l'évidence. Pas d'inte mpéries ou de néons pour l'ambiance et l'échelle, avec les belles lumières qui se réverbèrent sur le métal luisant de pluie : c'est grand soleil et buildings génériques. Pas spécialement d'autres enjeux dans les scènes d'action que taper sur le méchant. Exit le design fonctionnel, les mechas qui pèsent lourd à l'écran, le competence porn des équipes techniques de la base : des cadets ahuris, un shatterdome tout propre. Fini le freakshow à Guillermo del Toro, avec ses persos hauts en couleur habillés ninwaque, ses bureaux av
"Le cinéma est rarement du grand art : si vous ne savez pas apprécier ses beaux déchets, mieux vaut ne pas y aller" - Pauline Kael